Savary et son troupeau de chevre .

Messages : 4 Date d'inscription : 21/09/2011

Savary avait était envoyer par son maitre , chez le baron bubul , il avait avec lui une garnison de chèvre qu’ il devait remettre a bubul en personne sont mettre lui as dit que le baron comprendrait , de quoi il s’agit .

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]( a imaginer quelel son beacoup plus que deux lol)

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Arrive devant l entré du domaine ou un garde était poster à la porte d entré

-Bonjour je me nome Savary je travaille au domaine du vicomte Gilaalad de Noldor.

Puis il attendait la suite en attendant la réponse du garde.

Gestionnaire du Domaine Messages : 100 Date d'inscription : 07/01/2010

Benoist n'arriva pas à croire ce qui se produisait sous ses yeux.
Un homme portant armoiries des Noldor, se présentait à l'entrée du castel accompagné d'un troupeau de chèvres.
Norf de norf pensa-t-il, qu'est-ce qu'encore que ce traquenard.

L'homme prit la parole et se présenta.
Mais pourquoi à Buzançais ...

Ho l'ami !!
Mais que fais-tu ici ?
Te serais-tu trompé de résidence seigneuriale ?
Et pourquoi donc venir accompagné de tes biquettes ? Elles sont pô bien grasses tout cas. Y a plus d'herbes par chez toi ?

Oui chais d'où tu viens !
Le carrosse de tes maistres vient souvent par notre domaine.
C'est que le baron et la dame Pandorha sont très amis.
Elle vient j'dirai pô tous les jours, mais presque.

Allez entre !
On va aller mettre tes kèvres à l'enclos.
Et, pourquoi ta visite ?

Moi c'est Benoist, au fait !

Il ouvrit les grilles laissant entrer le Savary et son troupeau et le mena au champ de pâture le plus proche.

Messages : 4 Date d'inscription : 21/09/2011

Savary regarder le garde devant lui il se nommer visiblement Benoist, et était bien content de ce débarrasser des chèvres de son maitres sourit quelque instant.

Mon maitre ma juste dit va porter c est chèvres chez bubul et il sait déjà a quoi ça correspond, tu sais j écoute bien mon maitre alors voila, je ne sais pas ce que mijotent nos maitres mais sa doit être encore un truc codé entre eux, mais sinon j en sais pas plus pour les chèvres.

Tu peux peut être prévenir ton maitre après pour les biquettes, je pense qu’il ne sera pas étonner de les voir dans la proche pâture.

C est bien la première fois que mon maitres me demande de faire une livraison, d habitudes il demande a son livreur professionnel ou a june de ce charger de ça mes la je trouve tout cela bizard quand même.

Gestionnaire du Domaine Messages : 100 Date d'inscription : 07/01/2010

Benoist, accompagné de Savary, alla enfermer les chèvres dans le pasturage le plus proche.

Merci d'ton aide l'ami.
J'va prév'nir le baron après ton départ.
Mais tu vas rester boire un ptit godet.
J'ai déniché une bonne niole.

Allez viens donc au poste de garde, la Capucine elle va nous servir.

Benoist commença à aller en direction du bastiment quand dans son dos, venant d'un petit sentier, des pas et des paroles se firent entendre.

Duc Messages : 668 Date d'inscription : 03/01/2010 Localisation : Bourges

Bubul, accompagné de son Joyau, sa divine Pandorha à son bras, revenait d'une petite balade romantique en forest.
Le sentier menait à l'entrée du domaine et ils tombèrent nez à nez avec Benoist qui parlait avec un inconnu ; mais les couleurs que l'individu portait, Bubul ne put les ignorer.
Il regarda Pandorha pour voir si elle aussi, elle avait vu comme lui. Il lui sourit tendrement.
Il lui tint un peu plus fort son bras, de peur qu'elle se dérobe.

Le bon jour à vous.
Pas de soucis Benoist ?
Je suis le baron Bubul, à qui ai-je l'honneur ?

Messages : 4 Date d'inscription : 21/09/2011

Savary suivez benoist lorsque soudain un homme et pandorha arriver, l homme ce présenter c était a lors lui le baron bubul, la jeune femme était très connus puisque c était la fille de son maitres, Savary ce mit a genoux devant le maitre de maison.

Bonjour messire le baron je me nomme Savary garde de la porte d entrée du vicomte Gilaalad de Noldor.Bonjour dame pandorha.
Messire voici ce troupeau de chèvre pour vous mon maitres vous les a envoyer pour vous messire.

Invité

Pandorha passait un peu de temps chez Bubul, voir beaucoup de temps, enfin quand c'était possible, avec la guerre ce n'était pas forcément facile. Mais bon, Buzançais était un endroit sûr et la jeune femme se savait en sécurité.

Elle était libre, elle avait reçu le pardon, elle s'était confessée, elle avait même la garde de ses enfants qui restaient légitime, car tel était l'avantage de la dissolution à l'inverse de l'annulation. Enfin bref, tout ça était derrière elle et après avoir fini de se repentir, elle pourrait de nouveau prendre époux si le Très haut le voulait.

Ainsi donc, elle était venue d'une robe assez simple, bleu clair et blanc, très serré au niveau du ventre sans pour autant l'étouffer. On voyait à ses mains qu'elle avait perdus du poids à certains endroits et qu'elle en avait prit à d'autres. Aussi, quand au bras de son doux, la jeune femme arriva à hauteur de Besnoit et d'un homme aux couleurs de Noldor, Pandorha fit disparaitre son sourire, c'était peut-être une mauvaise nouvelle, un homme de Noldor ici ? C'était fortement bizarre, très bizarre même.

L'envie de courir fit son apparition, mais dans quel sens ? Vers l'homme pour savoir s'il venait pour une mauvaise nouvelle ou bien dans l'autre sens pour fuir... La jeune femme garda son sang froid et laissa Bubul prendre les commandes, après tout, il était chez lui.

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Duc Messages : 668 Date d'inscription : 03/01/2010 Localisation : Bourges

Un sourire se dessina sur le visage de Bubul.

Savary, vous remercierez chaleureusement le vicomte de Savigny pour ce présent.
C'est le plus beau des cadeaux qu'il pouvait me faire. Et que nostre affaire est validée et scellée pour toujours.
Dites lui que nous saurons en prendre grand soin et que dame Pandorha et moi même mettrons la main à la pâte pour produire de bons fromages et du divin lait de chèvre.

Il se rendit compte de ses propos ... comment Pandorha allait-elle le prendre.

Se tournant vers Pandorha,

Jurez moi ma Divine que vous ferez leur traite ?

Invité

Comment devait-elle le prendre, comment ? Devait-elle s'étouffer ? Devait-elle pleurer ? Devait-elle lui faire mal ? Elle passa sa main sur sa joue droite, puis avec des yeux presque en colère prit la parole.

Je ressemble à une fermière ? Ce n'est pas parce que je vous ai offert mon coeur, que vous pouvez me demander cela !

Puis continuant sur sa lancer, Pandorha répondit encore.

Qu'est-ce dont ce marché que vous avez fait avec mon père ?

Non mais franchement c'était le pompon, fallait maintenant qu'elle s'occupe de chèvres... ils se mettaient tous le doigt dans l'oeil. Si elle avait eu sous la main quelque chose à casser, enfin autre chose que les os de Savary ou Bubul, Pandorha l'aurait prit et casser avec plaisir.

Je vous écoute, allez-y mon tendre, expliquez-moi, pourquoi je devrais faire cette tâche normalement destiner aux fermières.

Elle le regarda, se mit face à lui et attendit sa réponse. Alors, là, elle ne savait pas qui avait eu l'idée, mais quoi qu'il en soit, c'était son Bubul en face d'elle et si sa réponse était mauvaise, au vu de l'état dans lequel se trouvait Pandorha depuis quelques temps, pas sûr qu'il ressorte indemne.

Duc Messages : 668 Date d'inscription : 03/01/2010 Localisation : Bourges

Bubul se trouva ennuyé devant la réaction de Pandorha.
Il eut du mal à trouver ses mots et bégaya quelque peu.

Mais ...
Je ne voulais pas ...
C'est que ...

Enfin il retrouva de lui même et réussit à lui répondre.

Mais très chère amie,
Ce n'est nullement pour moi l'envie de vous abaisser, de ne pas vous respecter.
Je pensais, au contraire, que cela vous plairait de participer à cette activité.
Les gens de mon domaine ne sont pas nombreux et moi même je participe souvent auprès d'eux aux taches qui leurs incombent.
Et vous avouerez, que ce troupeau est important.
C'était un moyen de passer du temps ensemble, dans un contexte différent. Mais je comprends que vous ne vouliez pas et j'en prends bonne note, je ne vous importunerai plus avec cela.

Il lui prit ses mains dans les siennes, les porta à ses lèvres et y déposa un doux baiser.
Il la voyait en colère, et il voulait la calmer.

Il n'y a aucun marché avec votre père, juste un accord entre deux chefs de famille.
Il voulait m'offrir des chamelles, mais j'ai préféré des chèvres. C'est plus facile à s'occuper.

Devait-il tout lui dire de suite. Il décida de tout avouer.

Vous n'êtes pas sans ignorer que votre frère Vincent ait venu me rendre visite à Buzançais il y a quelques temps.
Il m'a demandé l'autorisation de pouvoir rendre visite et d'écrire à ma fille Arhiana et d'obtenir sa main lors d'un union prochain.
J'ai accepté cela car je suis honoré de pouvoir lui ouvrir notre famille, connaissant en plus leur forte amitié qu'ils portaient déjà l'un pour l'autre.
J'ai eu depuis contact avec votre père, concernant la dot à livrer. Et ce magnifique troupeau en est la finalité de nos discussions.
Ce troupeau leur sera remis après leur mariage, il leur permettre de subvenir à une partie de leurs besoins.

Il esquissa un petit sourire, espérant qu'elle avait retrouvé un peu de calme, et que la franchise de ses paroles lui plairait.

Invité

Elle s'en serait presque voulu de lui en vouloir, mais finalement, vue de son état, il était tout à fait normal qu'elle réagisse ainsi. Pandorha écouta ses explications, il bégaya au début puis reprit son assurance du quotidien, prenant les mains dans les siennes.

Alors, il y avait bien un marché ! Elle voyait rouge et les explications de son doux était pour le moins bizarre. N'était-ce pas au père de la fille de fournir la dot ? Comme son propre père l'avait fait en lui octroyant Fortillesse ? Il y avait vraiment un truc de louche, Bubul pensait peut-être l'avoir de cette façon ou bien effectivement les rôles étaient inversé et c'était Vincent qui ramenait la dot dans le prochain couple qu'il formerait avec Arhiana.

Et bien non, la jeune femme n'irait pas traitre des chèvres, elle avait déjà mal au dos si en plus elle devait faire ce genre de tâche à laquelle elle n'était pas du tout habituer, elle finirait six pieds sous terre dans peu de temps.

Je vois...néanmoins, c'est quand même un marché ! Et bien, mon cher Baron, pour vous faire pardonner, il ne vous reste plus qu'à m'inviter à dîner.

Quoi ? C'était normal après tout, il avait dit qu'il n'y avait pas de marcher pour finalement avouer qu'il y en avait un, faut pas prendre Pandorha pour une buse ! Elle regarda une des chèvres qu'elle aurait volontiers vu sur une broche à cuir, hum, quelle délicieuse vision.

Duc Messages : 668 Date d'inscription : 03/01/2010 Localisation : Bourges

Un diner aux chandelles ... quoi de mieux pour eux deux.
Il tenait toujours ses mains dans les siennes et plongea son regard dans le sien.

Un diner en tête à tête à la Beausse, vous plairait-il ?

Il s'était aperçu du regard de Pandorha pour festoyer d'un chevreau.
Il parla à voix basse à Benoist, lequel s'exécuta sur le champ.

Puis se retournant vers sa Douce.

Allons-y voulez vous ?

Invité

Pandorha laissa à Bubul l'impression qu'il pouvait refuser, alors, qu'en réalité il était piégé, il ne pouvait pas de toute façon refuser un dîner en sa compagnie après le coup des chèvres.

Bubul : Allons-y voulez-vous ?

Pandorha : Volontiers.

Puis, elle le suit, là où il irait, elle irait, ce n'était pas beau l'amour ?

Duc Messages : 668 Date d'inscription : 03/01/2010 Localisation : Bourges

Il ne s'occupait plus de Benoist et des chèvres à présent.

Il n'avait d'yeux que pour elle. Il la prit tendrement par le bras tout en lui souriant tendrement.

Alors c'est parti.

Ils partirent en direction des écuries, prirent leurs montures et s'en allèrent au castel seigneurial de la Beausse, afin d'y festoyer en tête à tête dans la
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], en amoureux.