La nuit est tombée sur le Berry. Le Soleil a chu, mais la Lune, levée à son zénith, peine à défaire ce que s'employa à faire son triste jumeau diurne. Devant la porte , Flavio-Angelo a chaud.
Il n'a jamais aimé la lourdeur de cette instant....La chaleur, il l'aime...! mais émanant d'une riche et douce cape de lin qui le drape tel un mendiant. Il sue : son front est une mer glacée, et sur son dos coule une rivière qui ne se jette dans un océan postérieur qu'au sortir du Delta de la Chute de Rein.
Depuis deux heures qui en paraissent quatre, le Brun se demanda si il ne s' était pas trempée de demeure ...Instinctivement ou nerveusement se tourne et se retourne....Avant d'avoir engouer la porte de son manche en hêtre....D'une voix plus sur et franche il rétorqua...!
-Hum.! Ya quelqu'un...!
Sans même savoir si le faite d' être la était une bonne chose...la crainte peut être de ne savoir qui était cette famille ou même par sa propre raison lui qui était seul jusqu 'a présent...et d'une famille plus modique...
Mais les pensées vagues et sans cohérence s'invitent. ..
-Je suis Fabio-Angelo le compagnon d'Angelina et .....[d'une voix moins avertie] .....Il allait s'invité à dire son futur mari mais...Mais tout cela, il ne l'a pas étudié. Doux paradoxe de l'Enfant , dont l'orphelinat a oublié tout apprentissage des choses de la vie....
Ouvrez moi je suis ici en ami...!
Il ne put continuer, il serra les dents & se retient de rire a nouveau, il ne pouvait pas garder son sérieux, il n'y arrivait pas... Comment garder son sérieux face cette situation!?...Surtout devant cette porte de chêne massif.....